samedi 28 septembre 2013

Si tu savais, tu m'oublierais.

-Si tu savais, ça ne changerait rien. Parce qu'au fond, nos vies se poursuivront encore même si je me tais.
-L'hiver tarde, viendront tes larmes. -inspiration libre.
-Cultiver la force, nourrir la rage qui s'emprunte même si elle se considère prophète.
-Rien au monde que l'ivresse unique sans saveur, sans souvenir, sans erreur.
-Oublier qu'on est prisonnier de soi le temps que les autres te laissent aller.
-Un temps qui se dit plus doux que les lendemains responsables, une veille sans réelle conséquence.
-Dormir par procuration, par malheur et surtout pour montrer que la seule psychose que tu connaisses ne parle pas la langue.
-Le désordre tu l'oublies le temps d'un fantasme.
-La seule colère qui me meuve est celle qui sonne juste.
-Tu pourras comprendre à la fin quand rien d'autre ne comptera.

-La fin est un mot de trois lettres qui, finalement, ne se conjugue pas.